Bonjour, Afin de voir si j'ai une bonne écriture, j'aimerais savoir si vous pouviez me dessiner cet passage. Il s'agit d'une façade d'une grande maison. Cordialement
Voilà le texte:
Une bonne dizaine de minutes après notre départ, nous arrivâmes à la fin d’un chemin en terre battue, encadré par de grands champs. Devant nous, se dressait une grande porte rouge bordée de part et d’autres par des haies. Le passage se présenta devant nous au fur et à mesure que la porte finisse de s’ouvrir. On avançait alors sur une voie en graviers à l’intérieur d’un parc emplis de végétations. Après avoir contourné une fontaine, représentant Cupidon, posée comme un rond point, je me trouvais devant la demeure. C’était un bâtiment blanc, composé d’un principal ainsi que deux ailes accolées de part et d’autre. Celui au centre comportait trois étages. Les deux autres n’en avaient que deux. Le tout était très large et afin de les reliés, il y avait une terrasse extérieure en dalles blanche qui faisait le tour de la façade. Les fenêtres des étages supérieurs étaient longues et le contour était de bois, elles semblaient être d’une autre époque. La maison en elle-même semblait sortie du passé pour arriver de nos jours. La résidence était très bien conservée malgré ces centaines d’années de vie. La porte principale était longue, et très large surtout. La poutre du haut, en bois, était ornée d’or et de représentations en reliefs. Les deux autres portes, situées sur les deux ailes, étaient plus modeste mais le contour du haut était aussi sculpté. Je descendis de ma petite et modeste voiture et Enzo, déjà près de moi, m’escorta. Afin d’arriver sur la terrasse, il y avait un escalier en pyramide : très large au début puis de moins en moins. Les six ou sept marches, en dalles de couleur crème, était basses ; ce qui confirma mes doutes cet escalier avait servit pour une époque lointaine, une époque où les femmes avaient de longues et évasives robes ainsi qu’elles ne pouvaient monter des marches trop hautes.
Je vois très bien la maison, c'est très bien décrit, je vais essayer de la modéliser. Ta description est très claire mais il y a quelques mots qui sonnent bizzarement. C'est comme si on surfait sur une vague toute lisse, on se laisse emporter, puis, brutalement, on s'égratine sur un écueil. On en sort ruisselant, ravi mais un peu griffé. Continue!
Bonjour,
RépondreSupprimerAfin de voir si j'ai une bonne écriture, j'aimerais savoir si vous pouviez me dessiner cet passage. Il s'agit d'une façade d'une grande maison.
Cordialement
Voilà le texte:
Une bonne dizaine de minutes après notre départ, nous arrivâmes à la fin d’un chemin en terre battue, encadré par de grands champs. Devant nous, se dressait une grande porte rouge bordée de part et d’autres par des haies. Le passage se présenta devant nous au fur et à mesure que la porte finisse de s’ouvrir. On avançait alors sur une voie en graviers à l’intérieur d’un parc emplis de végétations. Après avoir contourné une fontaine, représentant Cupidon, posée comme un rond point, je me trouvais devant la demeure. C’était un bâtiment blanc, composé d’un principal ainsi que deux ailes accolées de part et d’autre. Celui au centre comportait trois étages. Les deux autres n’en avaient que deux. Le tout était très large et afin de les reliés, il y avait une terrasse extérieure en dalles blanche qui faisait le tour de la façade. Les fenêtres des étages supérieurs étaient longues et le contour était de bois, elles semblaient être d’une autre époque. La maison en elle-même semblait sortie du passé pour arriver de nos jours. La résidence était très bien conservée malgré ces centaines d’années de vie. La porte principale était longue, et très large surtout. La poutre du haut, en bois, était ornée d’or et de représentations en reliefs. Les deux autres portes, situées sur les deux ailes, étaient plus modeste mais le contour du haut était aussi sculpté.
Je descendis de ma petite et modeste voiture et Enzo, déjà près de moi, m’escorta. Afin d’arriver sur la terrasse, il y avait un escalier en pyramide : très large au début puis de moins en moins. Les six ou sept marches, en dalles de couleur crème, était basses ; ce qui confirma mes doutes cet escalier avait servit pour une époque lointaine, une époque où les femmes avaient de longues et évasives robes ainsi qu’elles ne pouvaient monter des marches trop hautes.
Je vois très bien la maison, c'est très bien décrit, je vais essayer de la modéliser.
RépondreSupprimerTa description est très claire mais il y a quelques mots qui sonnent bizzarement.
C'est comme si on surfait sur une vague toute lisse, on se laisse emporter, puis, brutalement, on s'égratine sur un écueil.
On en sort ruisselant, ravi mais un peu griffé. Continue!
D'accord, merci pour le dessin et pour les conseilles.
RépondreSupprimerAurais tu des exemples à me donner de ce que tu dis ?